Anabelle Co-Martinent, famille franco-malaisienne
1. Pourquoi avez-vous choisi le LFKL ?

Nous vivons en Malaisie depuis 2007 et j’ai eu mes enfants à KL. En grandissant, mon mari français voulait s’assurer qu’ils aient la meilleure éducation et un endroit où apprendre la culture française. Ils ont été dans une petite école Montessori avant que nous les mettions au LFKL. Du moment où je suis posé un pied au LFKL, j’ai pu sentir l’esprit du français et tout ce qu’il représente, et était ravie que mes enfants aient « un morceau de France » tout en grandissant à Kuala Lumpur. L’enceinte de l’école était impressionnante mais plus encore, j’ai ressenti la culture de l’égalité en rencontrant les enseignants et des parents au tout début. J’ai vu de nombreux expats et leurs enfants scolarisés dans d’autres écoles internationales et, en un sens, ils portent un air d’exclusivité ou autre que je n’arrive pas à articuler. Avec le LFKL, je me suis immédiatement sentie comme à la maison.

2. Vos enfants se plaisent-ils au LFKL ?

Mes deux enfants sont heureux d’aller au LFKL. Nous n’avons pas eu de mauvais moments. Ils ont l’air d’avoir toujours hâte d’aller à l’école. C’est un endroit confortable et ils ne s’en plaignent jamais sérieusement. J’ai pu constater leurs progrès en français et en anglais en particulier au début, lors de leur 1ère année à l’école. Ils aiment aussi beaucoup les enseignants qu’ils ont eu jusqu’à présent ; peut-être avons-nous eu de la chance que le LFKL leur donne toujours les bons.

3. Avez-vous l’impression que vos enfants changent et grandissent au LFKL ? Si oui, comment ?

Absolument ; nous observons leur développement et des changements positifs survenus depuis qu’ils y sont inscrits. Ils y apprennent bien plus que la langue française. La compréhension culturelle et l’équilibre, au-delà des simples livres & leçons, font partie des choses que le LFKL apporte aux élèves et auxquelles nous sommes attachés.

4. Quelle est la chose la plus positive à propos du LFKL ?

J’ai rencontré des parents d’autres écoles internationales et on dirait qu’ils s’impliquent toujours trop, tout le temps. Je trouve que le LFKL a un bon équilibre en termes d’implication des parents. Il n’en manque pas et crée des opportunités pour les parents de venir rencontrer les enseignants et les autres parents. Les activités culturelles sont aussi très bien et permettent aux parents de se retrouver de temps à autre dans un cadre sympathique. L’équilibre que l’école crée pour les parents reflète aussi celui mis en place pour les enfants. La mise en place d’activités dépassant les études aide à former des enfants qui interagissent et prennent confiance.

5. Avez-vous, vous ou vos enfants, une anecdote particulière au sujet de l’école, d’un cours ou d’une activité ?

Mon petit Nicolas a intégré l’école en 2017-2018 en Moyenne Section, tandis que sa sœur Alexandra avait également intégré l’école en Moyenne Section en 2013. Chaque année et lors de cette nouvelle année scolaire, nous avons apprécié les activités scolaires telles que la fête de Noël (par exemple, en décembre 2017 ma fille a fait partie du défilé de mode et mon fils est monté sur scène pour lui faire un câlin et défiler avec elle). C’était un moment vraiment mémorable. Les moments aussi où ils sont l’AMI(E) DU JOUR, notre famille stresse en préparant la nourriture et les boissons pour eux mais malgré ce « stress », on se souviendra toujours de ces moments comme une part de leur enfance au LFKL.

Nicole S.H. Yap – famille belgo-malaisienne
1. Pourquoi avez-vous choisi le LFKL ?

Avril 2007 : tandis que je tenais dans mes bras ma petite fille, Amelia, qui venait de naître, à l’hôpital SJMC en attendant que mon mari arrive en voiture pour me ramener à la maison, j’ai aperçu une femme portant un t-shirt Lycée Français de Kuala Lumpur.
Non ! Il y a une école française à Kuala Lumpur ! Je lui ai parlé (il s’agit de CC, une Malaisienne qui travaillait auparavant au service comptabilité de l’école), ai pris ses coordonnées et dès ce moment, au plus profond de mon cœur, j’ai su que ce serait la future école de mon bébé.

Outre le fait que mon mari est belge et que le français soit sa deuxième langue, en tant que malaisienne j’ai été immergée dans la langue française dès l’âge de 18 ans et adore la culture française dont la philosophie de « liberté » contraste tellement avec ma propre culture chinoise. C’est donc tout naturellement que nous avons envoyé nos deux filles, Sara, qui a maintenant 10 ans et Amelia, 11 ans, au LFKL dès le premier jour de la scolarité, en Très Petite Section de maternelle.

2. Votre enfant se plaît-il au LFKL ?

2009, Amelia est entrée en Très Petite Section en septembre 2009. Elle ne connaissait pas un mot de français à l’époque et ne pouvait presque pas du tout « parler » en classe pendant 3 mois. Cependant, grâce aux efforts** tout particuliers de l’enseignant et de l’Atsem envers les non-francophones, elle a rapidement appris le français. Elle a réussi haut la main chaque année scolaire jusqu’au CM2, où elle est désormais, sans aucun problème pour faire ses devoirs et, bien sûr, se faisant de nombreux amis aux nationalités et milieux culturels différents.
** Les enfants francophones et non-francophones sont séparés en 2 groupes pour le cours de langue : lorsqu’un groupe apprend le français, l’autre apprend l’anglais.

3. Avez-vous le sentiment que votre enfant change et grandit au sein du LFKL ? Si oui, comment ?

Le système éducatif français est très différent des systèmes éducatifs anglais ou malaisien. Il applique véritablement ce en quoi les Français croient : liberté et égalité. Les enfants ne doivent pas porter un uniforme, ils sont libres de choisir ce qu’ils ont envie de mettre et cela leur enseigne, indirectement, à s’habiller correctement. On n’oblige pas les jeunes enfants à s’adresser à l’enseignant par son titre ; au contraire, ils peuvent l’appeler par son nom, ce qui leur inculque la valeur de l’égalité entre les Hommes dès leur plus jeune âge. Et naturellement, la culture de l’art et de la gastronomie française qui fait qu’à seulement 10 et 11 ans, mes filles m’épatent en tant que jeunes adultes indépendantes.

4. Quelle est la chose la plus positive à propos du LFKL ?

Je constate que le LFKL est conçu pour l’enseignement individuel. On ne force pas les enfants à apprendre et rentrer dans le même moule. L’évaluation des progrès se fait sur des paramètres étendus basés sur chaque individu, sans compétition entre les enfants. Ceci crée une atmosphère d’apprentissage sympathique et détendue à l’école.
De plus, le LFKL est plutôt petit comparé aux autres écoles françaises de la région ; tout le monde, du proviseur aux enseignants en passant par les surveillants connait chaque élève comme dans une famille, ce qui se traduit par un fort sentiment d’appartenance chez les enfants envers l’école.

5. Avez-vous, vous ou votre enfant, une anecdote particulière au sujet de l’école, d’un cours ou d’une activité ?

Etant moi-même une nageuse passionnée, mes deux filles ont appris à nager très jeunes. Chaque année, les écoles françaises de la région Asie-Pacifique organisent une compétition de natation, le CAN (Championnat Asie-Pacifique de Natation). Cela fait 2 ans qu’Amelia et Sara s’entraînent pour la sélection, malheureusement elles ont échoué pour différentes raisons. La réalité montre que le niveau de sélection est très élevé, et que le LFKL est clairement une bonne école pour former de bons nageurs !